quinaboutique, journal public

alors, je dis rin

Si mon blog n'est pas encore mort, c'est qu'il a la  vidure, ou qu'il a ressiçutacé. il n'a rien nadir, mais j'essuie de le maintenir envie

ô jour d'huis, c'est déjà demain, et même ( au geourd dui!) c'est le 14 de décendre de mil noeuds sang huitres, qouac en effesse c'est seule ment cent trhuitres qu'on na co-mandé pour le noël qui vient (à défaut de l'insurection ; qu'elle vienne ou pas on s'en fout pourvu qu'on ait l'in-s'érection)). Et plus précisé ment, c'est (le 141 208!) jour de rendu des lives de bibiotek. Je vais encore prolonger le Bambiland de madame Elfriede (mais ça y est, c'est parti). L'autre, c'est Kononov, si ma mémoire est bonne.

C'est tout (pour au jour d'hui, et deux mains).

J'ai rêvé que j'ai été énlevé par la fou-rire dans un nénorme camion noir tout en plastique noir. C'est d'ailleurs ce pour quoi je vous zay paparlé depuis la dernière fois (en fait 010508, voire 020608). Mais attendédon que je me réveille et vous zallez voir si vous allez rire. A demain donc.

Non, je ne veux pas.

Déjà 31 - 13 (= 18) + 61 + toute l'année 2008 (soit 31 + 29 + 61) (= 121) = 200 jour pile que j'ai rien causé dans l'le blog. ça dégage les bronches, non?

1Father_of_poetry1Father_of_poetry : merci, monsieur Tati

Je mrede mande (elle stam) ossi(p) si geai pas fée une orreur, une unsanité dans ma précédente dé-clara chium de blag. En fête je crois pas qu'il soille unthérésant de parler de l'hôte Nic Shtark (de lés lycées). En pluce je lé râtés. Tempie sa fée-riin. C'ignée C'est Sylla.  Ossip sixper-sonne  qu'on prend rien, cénormalle cévoulueèksprès

Toussa nvo pas lamour (label à Moore),
mais, comme j'y orée dix si j'yahvé dit,
déjà une foie, léléxion du, de, dsar (nicolas) sar cosy,
déjà une fois disé-je, c'est terrib pour le choeur (des malades du foie et des entubeurs de tuber carré),
mais zalors Nicolas II regrffé avec quatre cent quatre-vingt têtes vides à la sang-blée nassionnale, rien qu'pour y dire que ski fée sé billlin ,
je ne sais pas si je pourri le supporter.
Alors "que fer?", comme disait cogne bendite danzune précédente réicarnation d'avant soixante-huit (mais, éyé passi peur, jme signe quand je dis des infamies, voire des balivernes, en fait, des blasphères, comme avec le soixante-huit, jme signe (un chèque)).
Je sais padutou si que j'orée la pas-science d'attendre cinq ans, ou pire, il serait caisse tion quille soye réélu (ce qui fferé dix ans) et là j'épeure.
Pasque qoua, vou fête pas di-lusions, c'est définitif (dans la durée qui s'étend devant à perte de vue (à perte de vie?), comme dans la durée qui stationne sur place pour toujours), mais aussi, on monte pas une si pare-fête opérassion (l'avant-zéléxion, un vrai marathon sous amphétamine; l'pendant, un numéro d'homme orchestre, aux cent voix, aux cent yeux et aux mille opinions; et surtout l'apprès : gagner la partie ne suffit pas, selon la morale du "milieu" il faut aussi humilier , déshonorer l'adversaire, le casser pour tjrs, et, si c'est pas les Kouchner qui manquent, à la pelle, pour répondre (à l'appel) (appel : mêmes vos amis reconnaissent notre supériorité), par contre, il fallait avoir l(intelligence d'y penser (et la force de l'assumer contre ses amis plus cons, ou moins désintéressés), et vous con prenez biin que toutous ces investissements (coûcoûteux) n'ont pas été faits passer la main aussi vite à nain-porte ki (porte ki ou porte skis?). Pasquequa? Pasque Pasqua, lui, non pas lui, il a pas de skis. Mais si les Corses, izon pas des skis, izon des chênes-liège, que l'écorse, elle ser à fer des bouchons, des bouchons pour boucher les zélécteurs. Car vou zavé remarqué comme moi que les zélés kteurs, ils sont copètement bouchés (et tant mieux, à cause de l'odeur), mais sa fée des prézi-dents cons (cons mauvaise haleine). Et Cissé pâle et corse, alors cé dautes, et cé vré que du moment con na réussi à boucher l'entendement de lélé kteur, ya pas besoin d'ette corse, on peut êtes skon voeu, le kapi talisme sans fou (pas fous, mais copêtement bouchés). A propeau d'fou, cé fou ske çafa tigue dedir de conneries.
            Signé : une baleine, mais une baleine qu'a bonne haleine, une bonne baleine (dans les quatre-vingt-quinze tonnes) qui vou veu du billain (du byein ? du bibillin ? du viens ? du vieux, du mieux, mais le biein est laine mie du mieux).

Après tout ce que j'ai dit avant, je me demande, mets zun potard (avant ce que j'ai dit après saurai-tété mieuh),  si on a le droit de faire de la publicité pour la politique (et plus précisémént contre la politique (la politique prescrite par certains (suivez la ligne jaune comme disait Coluche (mais ici ce serait plutôt l'absence de ligne (rouge?) (peut-être rouge?) (baie rouge, en fait))))) dans un blog honorable comme l'est le canal-blog.
Faire de la publicité, oui bien sûr c'est permis, mais faire de la politique, ça, j'hésite.
Faudrait demander à l'inspecteur des élections françaises. J'y pose la question. Et j'attends la réponse.
Mon opinion perso, c'est qu'il n'y a rien de pluton que le blog militant (en outre, si militaire, ça ferait plutonium, et ça, c'est vraiment triste).
Si aucun inspecteur d'élections françaises ne me répond, je demanderais au controleur général des élections françaises.
En tout cas, j'espère que vous zavé rien compris, cartoum ceci est tun mé-ssage secrêt!